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mailles, des greves et genouilleres d'acier et meme des cuissoLs peu
developpes (voy. CUISSOT, GsNouxLLEnl-z, GRIEVE).
Il n'e'tait plus näcessaire que la pointe de Fecu couvrit le genou
gauche, on diminua donc la longueur de celui-ci, tout en lui conser-
vant sa largeur. C'est alors que les ficus commencent il erre reguliere-
ment armoyes (Iig. 9 1).
On observera que si cet homme d'armes n'a point de greves aux
jambes, il est muni de grandes genouilleres d'acier. Son ecu porte
un lion rampant heraldique. Les ecus de la fin du X1110 siecle sont
presque aussi larges que hauts, dest-a-dire qu'ils circonscrivent
un triangle equilateral, ou peu s'en faut, et n'avaient guere plus de
60 centimetres de largeur sur 60 centimetres ou un peu plus de
longueur. Etant peints auxf armes de celui qui les porte,ils ne sont
plus orles de metal apparent et le champ du blason couvre toute
la surface. Ces ecus possedent toujours la guige pour les suspendre
au cou, et les enarmes ne se composent plus que de deux courroies
(fig. 9 bis), l'une pour passer le bras, l'autre pour etrc saisie parla
main.
A la Iln du xme siocle et au commencement du xxvc siL-cle, les bla-
sons peints sur les ocus ätaient bien lisibles, d'un beau style, largo-
ment dessinos, de telle sorte qu'on pm les voir dc loin. Nous flon-
nons, planche VI; plusieurs de ces blasons.
1 lNIanuscr.
environ).
Bibliolh.
nation.
Diclis
de bello
Trujano ,
ct
Liviz
Üecades
160