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serrees, rembourrees et courtes, avaient me reprises. On les alban-
donna entierement sous Charles VII, pour les reprendre sous Louis XI
et Louis XII.
Celles adoptees vers 1470 sont munies souvent d'une pelerine ou
large camail qui couvre seulement les arriere-bras et le dos 1, lais-
sant le eolletin decouvert.
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Sous Charles Vlll et Louis XII, ces cottes (larmes, träs-courtes de
jupe, faites en fagon de chemise, possedcnt des manches aussi tres-
courtes et larges. Elles sont fendues lateralcment et se portent sans
ceinture (fig. 12 2). Cette cotte est armoyee irregulicrement, en ce que
le champ est d'azur et la tour de gueules. Elle recouvre un hau-
bergeon de mailles ä manches courtes. Les gardes de fer du colletin
(lepassent son encolure, et pilP-LIGSSIIS le haubert on voit les extre-
' Slatue de Charles dkh-tois, mort en 1471,
2 Statue tombale du nmsäe düvignon.
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Anm
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