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Des Fepoque de Gharlemagne, les hommes d'armes portaient le
camail de iveau, ainsi que l'indique 1e jeu (Fechecs faisant partie
du cabinet des medaillesl et provenant du tresor de Saint-Denis.
Les pions de ce jeu, qui sont representes par des fantassins, sont
revetus d'un largo camail, sorte de goule avec ouvertures laterales
pour passer les bras. Un casque de metal (bronze probablement),
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muni d'un nasal, protege la tete, et porte sur le capuchon de peau
entaille pour laisser la vue libre. Le camail est completement
.recouvert de plaques de metal, comme de tuiles, et ne flescentl qu'il
"la hauteur des hanches. Par-dessus, est une cotte (Petoffe dont le bas
atteint les genoux. Ce fantassin porte un large bouclier en amande
(fig. l).
Les chevaliers normands et saxons representes sur la tapisserie
de Bayeux ont la tete couverte du camail tenante la cotte d'armes
(voy. Bnoieiviz). Le hauber-t (le mailles, adopte vers 1180, possede son
camail, qui est fait de meme ou quelquefois de peau, enveloppe exac-
tement la tete et ne laisse que le visage a decouvert; encore couvre-
t-il la bouche. Vers cette epopue, ce camail est souvent pose sur un
serre-tetc de peau (voy. Anneau, fig. 9 et 43), ou est fortement rem-
bourre en maniere de couronne, a la hauteur des tempes, pour rece-
voir Penorme heaume alors en usage et Yempecher de vaciller ou de
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nation.
Voyez Axmnms,