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BROIGNE
jambes par cette ouverture quatlrangulaire; il relevait le vetement
jusqu'aux aisselles, les jambes etant eoulees dans les deux ouver-
tures a, b. Il passait un bras, puis l'autre dans les deux manches, et
la tete dans le viaire du capuchon ou dans le capuchon meme. Alors
l'ouverture quadrangulaire etait fermee sur la poitrine. Ces broignes
etaient couvertes dannelets tangents cousus il Petoffe du vetement,
fait de toile doublee recouverte de soie (Fig.
Les broignes do la Iin du xuff et du xmc sieclc, recouvertes
comme liiildifgue la figure 1, etaient taillees ainsi que le montre
la iigure 4; on les passait par le bas, comme une chemise 2.
Elles etaient munies souvent de gants ou de mitons de peau revotus
sur le dos de petites tuiles (Tacier ou (Fannelets; le pouce seul otait
tieioche. Souvent aussi les rangs Wannelets sätrrotaient en a, le
crane n'en etant pas couvert. Un mortier (Fotoffo ou de peau, qui
Grandeur däexd-culion.
Voyez Anmumz, fig. 12 ct 12 bis,