BRASSARD
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mort en 140821. Ils ne different des precedents que par les trois
lames artieulees sous Yepaule (Fig. 2) et un double canon d'arriere-
bras, lequel n'est plus a charniere et etait passe comme une manche.
Ces trois lames superieures etaient recouvertes par une spalliere de
peau A qui etait prise sous la cotte d'armes faite aussi de peau et
fortement plastronnee sur la poitrine. Les gardes des cubitieres sont
plus developpecs que dans l'exemple precedent. En B, est montre
le brassard du cote interne. De ce cote, les eubitieres n'ont plus la
garde, qui n'etait utile que sur la face externe. On voit en G l'espace
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laisse libre pour l'aisselle et qui etait garni de mailles. Seul, le
canon a (Farriere-bras etait ferme ; la seconde pieee b et les plaques
de recouvrement c etaient interrompues au-dessus de la saignee pour
ne pas gener le ploiement du bras. Il en etait de meme des plaques d.
Pour que ces pieees fussent solidaires et pour qu'elles pussent se
developper en raison du ploiement du bras, elles etaient attachees
par des rivets a des courroies laterales internes a (fig. 2 Div), et
souvent a une troisieme courroie (l'axe b, PÜVÜG assez laehe pour
permettre aux lames de glisser les unes sur les autres. Ces cour-
roies laissaient au poignet la facilite de tourner en decrivant une
demi-revolution, suivant les mouvements du radius et du eubitus l'un
De Fdglise de Saint-Denis.