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de metal, au moyen de crochets it ressort a et de ehainettes. En E,
est donne le detail d'une de ces plaques s'articulant au moyen de
liehes gaies avec les pieees F, articulees aussi. En G, est l'attache de la
ehaine sur la mamelle droite; ehaine qui, comme il vient d'en-e dit,
se fixe ä la poignee de Parmeau moyen d'un coulant de cuir H. Quel-
quefois cette chaine est double, l'une servant ä attacher Fepee et
l'autre la masse.
En l, le baudrier est montre du cote droit. Une plaque sert, de ce
cote, 51 suspendre la dague.
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A dater de 1400, les armures de plates qui remplacent les hauherts
do mailles, les gamhisons et hroignes, ne permettent plus ces hau-
driers larges et plus ou moins riches. Ceux-ci ne consistent, pen-
dant le xv" siecle, qu'en de iiiles courroies, qui d'ailleurs sont dis-
posees d'une maniere aussi simple que pratique (Iig. 13 1). Le
principe est toujours a peu pres le meme; dest-ivdire qu'il y a la
courroie serrant la taille et la courroie lachc tombant sur la hanche
gauche. Lüäpoe est suspendue par trois courroies terminees par des
crochets a ressort qui entrent dans des anneaux tenant a des pas-
sants de metal rives (voyez en A). Cette sorte de baudrier est souvent
iuflependante de la ceinture qui serre la cotte d'armes; il est boucle
a la hauteur des hanches (fig. 14 2). Ifepec pouvait etre rendue inde-
pendante du laautlrier en faisant sortir les crochets B (voy. iig. 13)
des anneaux tenant aux passants. C'est ce qu'on faisait habituelle-
f Manuscr. Bihlioth
1410;
2 Mi-mc manuscrit.
nation.
le
Livre de
Guyron
le
Courtois,
frauqais
(1400