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que les hommes alarmes (levaient combattre aussi souvent il pied
qu'il cheval. Dans ce premier cas, il fallait que la tete, les bras, le
torse, pussent conserver une certaine liberte de mouvements. La
clifficulte etait de ne as zilinililii" ces Jarties essentielles, tout en
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leur laissant la souplesse necessaire. La protection des epaules etait
ce qui preoeeupait le plus les armuriers. Pour laisser une certaine
liberte aux mouvements de la tüte, on atlaiptait le eamail, ou gor-
gerette, au lmoinet. Mais ce tissu de mailles, si bien plastronne
qu'il füt par-dessous, ne prescrvait pas suffisamment des coups
de masse et (le marteaux aigus ou faussards. Les ailettes etaient
souvent insutlisantes et faciles 51 deranger pendant une action.