1 15 
ARMURE 
dans le 
luesoin 1. 
prbcüd 
exemple, 
rclcvail 
pas, 
mais 
skanlevail 
R11 
De 1350 2L 1390 
mais cependant elle 
 l'armure s'ajuste de plus en plus au corps, 
est accompngnüc parfois d'accessoires flottants, 
36 
I, 4 A. 
v1.5 
Pflhhh n-mf 
Ff r] 
  
f  Wix XQX 
I, ÜILN  w 
f ywf,53Äiäääzäbäääiääfiüäräw: x 1  x 
   
  y M 
     
w x1   L     
      
 "fifwxwxg   
  1M    91.! 
 j  ylffh- 
    
 H f  iÄWWWWWAGSpIWWtÄ    
L, 'f  1 Ai 
     
 , w  V37 f    
f"  "v; M  l; , 
 ÜfJuxfifwfzlilfx-ÜEÄÄJYW. 2   
iviwf tfffvf-Pifffjjf;  H) 
  W     
E151 hyijuff" UÜW] .1 
J,  1,3, 7 
il; 2 [w  
ÄILIVZMIÄLÜÜWIWWK 
{MW Q. 
Q 
manches, jupes, sous la cotte. ("Retait la mode alors, vers 4350, dans 
le costume civil, de porter de longues manches taillees en barbes 
düicrevzisse, et des cottes fendues (le meme, flecoupees sur les bords. 
L'exemple que nous donnons ici (fig. 36) provient d'un manuscrit fait 
pour le roi Jean 2, et qui doit flatcr par consequent de 4355 environ. 
L'homme d'armes est vetu d'une cotte fendue du cete dextre, descen- 
dant a mi-jambes, sur laquelle est, une surcotte courte de mailles. 
' Hanusc: 
2 Bihliogh 
du XIVÜ sibcle). 
 Bihliolh. nalion, le Iklirozr historia], fralngais (fin 
nation" file-Live, trad, framg., no 259.