MANCHE
poignets
de ünes
femme,
contraire, sont presque justes et alleignenl les
mua). Tr-üs-dälicalemont plissües 0L couvcrles
teries ou broderies au cou, les chemises de
(Voy. (11115-
passemen-
pendanl le
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X119 siäcle, älaienl un vätement assez
voir des parties, et Ilolalnment les
hliaul.
eleguut pour qu'on on laissait
manches, sous la noue et le
Pendant le x8 siecle, les femmes portent habituellement des robes
de dessus avec manches ne tombant qu'au-dessous du coude, mais
terminees en entonnoir et formant pointe (lig. Les manches
sont, suivant la mode d'alors, bordees de passementeries ou de
broderies. It ne semble pas que cette forme de manches dont le
patron est trace en A se soit moditiee beaucoup pendant le x10 siecle.
Toutefois, ces appendices tendent generalement a s'allonger.
C'est vers 1a [in du x10 siecle que les robes de dessus des femmes
commencent a etre pourvues de manches d'une longueur demesuree ;
si bien qu'il fallait nouer Textremite de ces manches pour rainettes
ne baluyassent pas le sot (lig. 32). Cette robe de dessus est le btiaut
Mllllllär
Mzumsr
Uiblif
Üihlh
nation"
natinu
Biblia, latin, 613 (W sibclc).
Cavtular. Virsioncnse (fin du