MANCHIÄ
NLsI-uu pas chose plus honaurahlu
Quo Lu vraies (levant La tahlu
Tus chevaliers, tes escuicrs,
Tes alors, les sarvuns, tus mcslicrs
Vcslis (znszuuhlc en (mleuauuc
A In Inmuc guise de Fmucv.
Que cc qu'il suicnt un Lu! guise
Que uhnscnu ainsi se dcsgllisc?
NO scay Cullllllüül ou s'y consuni
Et raerles li uns eu vaut cent I. w
Ce curieux passage presente, comme un desidaratunt, des habille-
ments uniformes pour les personnes altaehees au service d'un sei-
gneur. ll fait eonnaitre que les princes memes, plaices au sommet
de la societe, comme. Fetait le roi de Navarre, ne [arenaient pas tou-
jours soin de la bonne tenue de leurs serviteurs. Charles V fnl; un
des premiers, en elTet, ainsi qu'on vient de le voir plus liant, qui
eut une maison bien ordonnee. Les personnes ayant des charges
a sa cour paraissent, en ctTet, avoir etc veines tliizibillements dont la
coupe et la couleur etaienl reglees.
de
LODIER, s. m. Sorte
ülal. (Voy. SOUQUENILLE).
surcot
zunplfg,
gens
par les
pond
petit
Kg
MANCHE, s. f. (mfz-ltcltette, ilLLlJtCtl). Les manches, dans les vüte-
melzts des deux sexes, pendant le nloyetl age, subissent les transfor-
mations les plus etraxlges et les plus variees. Les exemples d'habil-
lements presentes dans le Dictionnaire lunt passer sous les yeux du
lecteur une grande diversitü de formes donnees aux IHIIIIClEBS. Il
parait necessaire de consacrer cependant un article special a cet
appendice.
La tutnqtle carluvinglenne, la cette, est pourvue de mamelles
Justes aux bras et couvrant les twoigttets. Quant aux chemises des
hommes, de cette epotlue au 2m10 siecle, leurs tnzxtlultes", assez Ztlll-
ples, ne Lleäljelltltllll rluklu Coude (lig. P). Celles des lennnes, au
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