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ainsi les deux jambes jusqu'aux pieds. Ce veLeincuL ätuit porlü IIIÜIÜB
par-dessus l'armure de mailles ou dücaillcs.
Au commencement du XIH" siäcle, la juhe est souvent. fendue par
(levant, plus longue que pnäcüdemincnf et ineäilioaremeiiL ample.
La iigure 5' monlre la jube pnrliäe par les genlilslioimmzs 51 ccLLe
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epoque. Les manches (le ee veteinent sont justes, collantes sur
les bras. Cette jnbe est blanc rose, rayee de bleu gris; les bas-de-
chausses sont rouges, et on voit qu'ils ne montent que jusqu'au-
dessus des genoux. Les souliers sont couleur marron ; le manteau est
bleu-indigo. Les rayures de Fetolfe sont fondues et non tranehees.
Alors il semble qu'on portait beaucoup de ces sortes de tissus
nuances de rayures en travers, passees. La jube des nobles etait
enrichie de riches broderies et d'ornements d'or, des la lin du
xnÜ sieele. La figure 6 donne un inoclele remarquable de ce genre
de vetement? Ce personnage est coiffe d'un bonnet blanc; sa jube
est rouge, avec large bordure d'or au cou, ornements blanes et
rouge clair sur la poitrine et les bras; seconde bordure d'or en bas.
Elle n'est pas fendue par devant et assez elroite a partir des llalllüllüä,
ce qui, du reste, est un des earacteres des tuniques de cette epoqne.
La cotte de dessous est bleu fonce, les has-de-chausses rouges et les
souliers noirs. Il n'y avait que les gentilshommes qui portaient ces
jubes et cottes longues; les vilains ne mettaient que des juhos
courtes pendant le cours du xni" sieele, avec heuses ou ohausses
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