JOYAITX
frangais, au moment de la renaissance, examinons les joyaux adoptes
en France par les hommes depuis Charles V.
Indepeiltlummont des ceintures nobles dont nous avons dejii parle,
les gentilshommes, des le regne du roi Jean, ornaiont; leurs cliapols
de joyaux, plaques, agrafes, cliaines, chapelets, suivant la fOFIIIB et
la naturelle la coillure. Sous Ultarles V, ou plztgait IHÜIHO däjii des
joyaux dans les cheveux (voy. Cnufifmtu, tig". 33). Un des cliupcls les
plus habituellement adoptes alors par toutes les classes, L-tait un
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feulre il forme l'onde, avec bords releves. Sur le devaul, les gens
riches faisaient poser un joyau surmonte habituellement d'une
plume (hg. 2921). Mais cette coiffure convenait aux hommes d'un
fige mur; les jeunes gens portaient des chapeaux plus hauts de
forme, cylindriques, avec lafges bords relrousses, et agrafe com-
posee d'un riche joyau (lig. 93 Les joyaux de veLemenLs des gen-
Lilshonunes de cette epoque ne s'appliquaient pas seulement aux
coilTures. Vers la lin du XIVÜ sieclc, la ceinture noble porliee ou-
ilesseus des hanches elait passee de 1110110, avec le sureol juste usile
sous Charles V. On faildossail alors, au conlraire, des surcoLs Lissoz
amples, a plis, des pcligons eL gaule-corps, (fuel-parfois avec cein-
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