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tures italiennes de ces Gpoques, on y trouve des origines, bien piutÜL
que des däductions, de quelques-unes de nos modes frangaises.
Ainsi Pltalie nkldopta pas les hennins et les coiffures oulrecuidantes
des dames de ce cütcä-ci de la Loire pondant la premibre moitie du
xv" siäcle; mais nous voyons par exception certaines modes
fräquerltes adoptäes dans Fltalie septentrionale, qui sont prises chez
nous par fragments. Des exemples sont näcessaires pour expliquer ce
fait.
existe
dans
HOÜVBLIU
muse:
de Venise
deux tableaux