HCOW
3 6 6
{Qui li u
L'autre (
Ainsi v0
us devant li regarde
lcrricxf qui fait la g:
mmc dame doit cstr
G
l
Il
n
Surgarzlee ä deslre et ä scnesln
La doit-elle bien regarder
Selle vuclt bien sfonueur gardr
Yestu et une sourquenie
et bien taillis,
blanche hcrlninc
Bonne assez pour une ruyuc.
Mais la (loucc, (courtoise cl frau
Vostu
rlatc riche
Qui fu vc
[il si tenoi
roi l'aile il R1
une hcrmim
'l'1'0p gracicusL
A une r-Imiuclt
Et un au
A lettres (Fcsmnil qui
Et qui gardez-nm hic
iäu"
lis
"u qui sues jugier (les m:
Ct des amoureuses (luulol.
Dois saw
Et du su
la signilizuu
nhit l'union
(les sourquenies etaient sans manches, comme certains leJliauts du
xiu" sieele, ajustees a la taille, quelque peu decolletees, avec jupe
lres-ample. Elles laissaient voir entierement les manches longues
de la cette de dessus et les manches justes de la cotte de dessous
(Hg. 18 2). Il fallait lacer ou agrafer par derriere ces sortes de surcots
pour qu'ils prissent exactement la poitrine et la taille. Cette dame
porte une sourquenie rose vif, doublee d'hermine. Les longues
manches de la cotte de dessus sont faites dbermine sans queues;
celles justes, de la cotte de dessous, sont taillees dans une etolTe
blanche. Elles serrent exactement les aviant-bras au moyen d'une
serie de petits boutons d'or traits-rapproches. du coude au poignet.
Il fallait evidemment beaucoup de temps pour s'habiller ainsi,
Ifescoftion a cornes est enjolive de papegaus (perruches), conforme-
ment a la description de Guillaume de Machau.
Il y avait aussi les surcots de (lames ressemblant aux houppe-
landes, et que l'on mettait pour sortir en-char ou a cheval (voyez
HoerrELANnE).
Le Livre flou venir
Mnnuscr Üihliolh.
des elmvzrzs.
lu CM