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du surcot resta la nieme, mais les deux larges ouvertures laterales
furent garnies de bandes assez larges (Fhermine (fig. et le
velemenl fut echancre sur la poitrine, laissant voir ainsi le haut
du corsage de la cotte. Par derriere. ce surcot eLaiL taille ainsi que le
montre la [figure 13. Une Iailiee (bande elroile, passe-poil) de four-
rure garnissait le haut du surcot entre les deux bandes des ouver-
tures. Trois larges plis tombaient du clos jusque terre. (les surcots
etaient un peu plus longs par derriere que par devant, et formaient
une petite traine de 30 {i 50 eentimetres au plus ; ils etaient genera-
lement portes avec le manteau. A la meme epoque, les dames nobles
endossent des surcols dont la coupe est indiquee dans la figure M. Les
deux bandes de fourrure encadrant les ouvertures se reunissent en
droite ligne sur la gorge et ne laissent plus voir le haut du corsage
de la cotte. Une serie dagrafes-joyaux ornent les bandes dhermine
reunies jusqu'au bas du ventre. Ces bandes devaient etre llxees au
corsage ajuste pour en suivre les sinuosites et ne point s'en separei-
lorsqu'on portait le corps en avant, ce qui eüt ete genant et disgra-
cieux. Alors la robe de dessous, ou cotte, est parfaitement collante
sur les bras, la poitrine et les lianes. Une "ceinture (lorfevrerie etait