Volltext: Dictionnaire raisonné du mobilier français de l'époque Carlovingienne à la Renaissance (T. 4)

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JÜYAUX 
qui rfslment däjä 
de ces joyaux cl, 
de mode. 
nLLcignniL d 
La ceinture basse fitait le plus riche 
0s prix fabuleux. Larges, lourdes. cou- 
il 
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Vertes (le pierreries, ces ceintures etnient portees alors E1 la hauteur 
des hanches (voy. ÜEINTURE). Elles etuient attaehecs derriere la 
COHe-ltardie et tombaient librement sur le devant (1131 9) 1- ÜÜS 
Ceintures se composaient de segments reunis par des Chilmläfes 
(ÜS- 9 bis), ce qui leur donnait une certaine flexibilite. P0111" 165 
mÜÜFB, on enlevait les deux broches A et B. La ceinture etait alors 
(ÜViSce en deux parties, rendues quelque peu souples au moyen deä 
Ühnrnicres a. Un peu plus tard, vers l_e commencement du regne de 
Charles V, ces ceintures sont portees plus basses encore et parfaite- 
    (13521. 
   u Samt-Efpf": nu mai! ddsnfrnnqais 
1 VOYOz le manuscrit (105 Statu? de lfloaggiiih- U-WÜÜÜ" Lnncelot" TIfEfI-glfgllül, ahb. 
Musde du Louvrc, et le Ulälllllsclqtwdi?  d;- Wimlsnr, vhHPÜÜÜ de Sain  
(1340 1,, 1350) Aussi la statue de Wühnln  
de Westminsler.
	        
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