325
SCEI
est le premier qui porte le hftton C1 signer ou la main de justice dans
sa main gauche, et un sceptre Ileurenne dans la, droite (lig. 4). La
liziste (111 sceptre est iei tres-longile, tandis que le bftton Zt signer est
relativement court. Cette meme disposition se trouve reproduite sur
- fi if ff f
""l'1w,Ih
MW) WTHÜUAPW, .
v. l! . FÄÄAÄHMHJÄAHW f
- if W wjllwl 115m; HI; U, NK
ÄVQJ? "IÜWÄV f XRNQCäC
m äxw r? Q
f
P A w 1j; Nw NÄFM,
f lmlxllljxsif; A {mg a,
, Bu] hfw Wf; x Äxylyxxwlfü fV l'au, 11'? ä
w a h v _ v xi f "
x {Xrv- ( 11
' 0 11 j;iwk' "J, Nüfff" ELÜ W
0m "ifffffyif1 E f? AA y " äffwfffd 'Äll1ilfflg'i[
Jiffuffh, ä F Äj
, "Il h 11v ä W f:
APÜ. Wl,
Nm 44!
(fR k- 44- fgmz.
les sceaux des rois de France jusque Louis XI. Ce ne sont pas (les
[leurs de lis ou d'arum qui terminent les sceptres de ces princes
depuis Louis X, mais des fleurons composes de feuilles pliees, termi-
nees par un bourgeon (fig. 5) et superposees, quelquefois avec une
bague au-dessous du fleuron.
La reine Glemence, seconde femme de Louis X, representee debout
sur son sceau, porte dans la main droite un sceptre court, termine par
une fleur de lis. Il en est de meme de la reine Jeanne, troisieme
femme de Charles le Bel. Mais apres cette princesse, les reines portent
des sceptres tleuronnes, analogues ä celui qui est represente figure 5,
si ce n'est qu'ils sont plus rlelicats.