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ROBE
cheval ä Fäcurio,
dans la maison.
au perchoir
Päpervier
chiens au
chenil et entre
La dame {fiait couchäe.
SUS 11110 111111119 1-1115 piez du lil.
A vil (le chevalier) toute sa m]
Ses braies oske cl sa chemise,
EL ses
ns a ostcz.
Mais le vavasseur, dont le rendez-vous avait me contrelnande,
revient chez lui avant le jour. Il voit le palefroi 51 Pecurie, Fepervier
au perchoir, les chiens au chenil... Le chevalier, surpris, n'a que
le temps de prendre ses chausse-s, bvaies et chemise, se cache dans
la ruelle et laisse sa robe sur la huche.
Questions de Pepoux au sujet de ce palefroi, de cet epervier, de
ces chiens et de cette robe; et lion questionnorait 21 moins. Mais la
dame ne se (le-concerts pas :
Li disL (ä son nmri)
Nhvez-xfous encoulrd
rFoi que (levez sainL Porc,
uzou frerc,
Qui orendroit dc _ci s'en part.
Bien vos a lessib v0 parl.
De ses jniaus, ce m'est avis ;
Por tant seulement que je dis
Que tel robe vous scrruih bien
Aiuc plus ne li dis nule rien,
Ains rlcspoilla tout nxaintcnzlnl
C1116 hlrlc rnhc avnuanl,
Et priSI. la Seue ä uhcvaucierl 5
Son palcfroi qu'il ot tant chier,
Son csprcvicr et ses chicnäs,
Ses espcrons feintes et nÜs,
Ifrcschenucnt dorez vous envoie.
Le mari trouve 1e prüsont fort convenabie, mais il a quelques
scrupules au sujet de la robe : Au moins, dit-il a sa femme,
deviez-vous lui laisser sa robe. Non pas, repond la dame, il n'esl
tel que d'accepter de bonne graoe ce qui est donne de bon cwur.
Si bien que le vavasseur se conLenLe de la repense, du bon accueil
de sa femme, et s'endort.
La dame alors se leve, delivre l'amant, lui rend sa robe, ses
1 a Et mehtant sa rohc a vheva11cl1er-
retourne avec celle ä chevaucher.
fcst-ä-dire qu'il
laisse
robe panic
s'en