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ixmanches lrks-longucs, perches 11 la hauteur de lu saignäe antäricn-
rament, et, pour chevaucher, garnie du capuchon (Hg. ä f).
Le peligon vulgaire des hommes est de müme alors garni d'un
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capuchon, mais il manches ne "tombant qu'au poignet (üg. 6 2). Ce
peligon est, ainsi que le capuchon qui en dväpend, mi-parli vert,
et ronge, doublä de blanc.
Pendant le xnF siocle, le capuchon du peligon ütait muni d'un camail
däsignä par le mot gueules du peligon :
'l'enra1nc11tplnre dus Naynnzxxs li man-luis
Sloillenl les geulers dnu pcliscm hermin.
Quant le voit Karl-ns, a pni nbnmyc vis 2
a Mais Garnicrs li feri du Imiug, de lel rcndnu
-f Du sana qui ist des dans li mvri le menton,
4 El moiHicrent les gueules. fic Wnuin poliqnn L
Les vignettes des manuscrits du xmf
sibcle
HÜHS
IIIOHLFCIH, SOHVGIÜ,
1 hlanuscr. Bibliotlf. nalion., 3a vnl de Lemcelot ffu Env. franqnis (environ 125
2 läianusav. Biblinth. natiorm, Naissance des choses, franqais (environ 12330).
3 Gaydon, vers 44155 et suiv.
'f Aye ddvignon, vers 1713 et suiv.