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du haut en bas par devant et pourvu de manches plus ou moins 
amples, fendues antärieurement pour passer les bras et les laisser 
libres ä partir du coude, si bon semble. C'est ainsi, du moins, qu'il 
est figure sur les monuments du Xlllc siecle. Anterieurement il cette 
äpoque, la police ou le peliqon, mentionne dans les textes, paraitrail. 
se rapprocher de la gouelle. Nous ne saurions däfillir exactement sa 
forme, car les monumenls ligures du xuo siecle ne nous montrent, 
pourles hommes et les femmes, que la cotte ou robe de dessous, le 
bliaut et 1e manteau, ou la gonelle, et, specialement pour les femmes, 
un voile plus ou moins ample. Faut-il voir un peligon de dame noble 
dans ce vetement de dessus (fig. fl i), et qui est evidemlznent passe 
par-dessus le bliaut? ou bien dans cette sorte de gonelle (fig. 2) 
ives-souvent üguree comme velenueut de dessus des dames, ä dater du 
X" siecle jusque la {in du me 1' 
Il nous est impossible d'avoir 51 cet egard une opinion basoe sur 
des documents cerlains. 
Mais, pendant le xmc sieole. le peligon est parfailoment caracte- 
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des srullwh 
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