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JUM 
Pour la, forme donmäe au paile, voyez MANTEAU. Le 
aussi s'appliquer 51 Fäloffe dont est fait un vätement, 
aujourd'hui u velu de drap v. 
mol paile peut 
comme on diL 
PALLETOT, s. m. On trouve ce mot employe vers le milieu du 
xv" siecle. Il parait designer un pelicon court, ou peut-cire un 
de ces hoquetons qu'on passait par-dessus l'armure. En parlant de 
Jacques düvranchies, Olivier de 1a Marche, dans ses Mämoires, dit 
que un pas d'armes, ce seigneur a etoii arme de toutes armes ; et 
(f dessus son harnois avoit un pallelot il manches de soye vermeille, 
u couvert de larmesf v. (Voy. PELICON.) 
PALLIUM, s. m. Lo pallium ätait, dans Fanliquilo et jusqu'au 
xne siäcle, un manteau quadrangulaire qu'on attachait sur Fäpaule 
droite. On le consiclärail comme un vätement honorable (voy. MAN- 
TEAU) (lue portaient dans les occasions solennelles les rois frongois 
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des deux premieres races. Il y a tout lieu de croire meme, en con- 
Siderant les 1nonumenls, que ce manteau avait la forme d'un tra- 
Däze, dont les angles du petit cüte etaient attaches ou meme 
Simplement noues sur Fepaule droite. En effet, ce manieau taille 
suivait un parailelogrunlme, ou n'aurait pas donne des plis assez 
amples en bas, ou aurait forme un amas d'il-toile Lres-genant sur le dos 
eL les epaules. L'examen des monuments ligures doit faire supposer 
fiuele pallium eLaiL coupe suivant la tigure 1. Il descendait jusqu'aux 
lilions et eLaiL borde de franges ou (Forfrois Wüy. Omfmu), quelque- 
fois seme de pierreries, de perles ou de iieurettes ou ornements d'or. 
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