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IRFIEOIS
sizisliques ne laissent pus d'en montrer une cerlaine quanlile d'une
exlreme richesse et d'une charinunLe composilion. Les chasuliles,
chapes, aubes, etoles, manipules des eveques, etaient garnis d'or-
frois, dans lesquels les pierreries se trouvaient enchzissees dans la.
broderie. Cependant, au commencement du Xllle sieele, bien que les
orfrois des vetements eeclesiastiques prissent dejäi un CüFaClÜFB
occidental, on retrouve encore dans leur eomposilion quelque tradi-
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Lions orientales. Ainsi, la statue tombale de bronze, de Peveque
Evrard de Fouilloy, fondateur de la cathedrale dlltmiens, mort en
1223, montre un orfroi de bas d'aube (fig. ä), dans la composition
duquel se trouvent ces oiseaux affrontes si eommunement figures
sur les etolTes faliriquees en Orient pendant le xne siecle, et des
couronnes opposees. Cette [igure est moitie de Pexecution. La bor-
dure de Famiet du meme eveque (fig. 6 1) est deja d'un dessin dont le
earactere est vraiment occidental.
Tous les artistes connaissent les beaux orlrois qui ornentles habits
des eveques et des pontifes, dont les statues se dressent sous le
porche nieridional de la cathedr-ale de CllEtPlTCS (fig. 7 2). On obser-
vera que dans ces compositions dominent les combinaisons geome-
triques. Ges statues (latent de 1230 environ. Les pierreries se melent
avec beaucoup d'art aux laroderies; elles näitaient souvent que des
gouttes de verre colore posees sur paillon, car dans les sepultures
il n'est pas rare de trouver de ces verroteries au milieu des debris
pourris de Fetoffe.
Un peu plus tard, cfest-a-dire vers 1950, les orfrois des vetements
1 Voyez,
lig. 28.
2 Dloilif
pou:
Diciionn.
zfnrchit.
arliclc