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cou aux reins. Elle älait sans manches on 51 manches; quelquefois
munie d'un capuchon. Clätait le votemont des bergers pendant les
mauvais temps, ot sa forme ne se modifie gnäre pendant le cours du
moyen fige. Elle s'est mäme conserväe jnsquäi nos jours dans les
doparlemonls du Centre et de TOueSL. La. figure 1 ' nous montre
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deux pasteurs : l'un est vetu d'une gonelle ou manteau court, l'autre
d'une melote a manches avec capuchon inclepcndant. On observera
que les bas-de-chausses de ces deux bergers recouvrent les souliers
on fagon de guetres a plis verticaux, et sont serres aux chevilles. (les
bas-cle-chausses sont encore en usage dans la Bretagne et sur les cotes
de l'0uest jusquäi Bayonne.
La melote des religieux se confond parfois avec le scapulaire de
travail. Guillaume Durand considere 1a melote, ou le taazus, comme
le vetement que les religieux reguliers endossent en effet pour se livrer
aux travaux manuels.
MIROIR, s. m. (miroiter, mirozr). Il ne peut etre question ici
que des miroirs de poche, ou pendus it la ceinture, et qui par mm
meme constituaient un objet de toilette fort en usage diailleurs
chez le beau sexe, depuis le me siecle jusquäfl la fin du xv". Il
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