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un praticable, que lelolfe fül, assez souple et üne pour se prelera
cette manoeuvre. Ce qui fait supposer, si d'autres raisons ne le de-
montraient pas (l'ailleurs, que ces manteaux de nobles personnages
elaienl tailles dans des pieoes de soie assez fines. On renlarquera
Fornemenl de la manche de ce personnage, sur larriorc-bras;
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ornement compose d'une fronce tres-delicate deeoree d'une bordure
hrodee.
L'habitude de nouer meme les deux bords rectilignes du man-
teau se rencontre assez frequemment pendant le cours du xnn sieste.
La statue de Childelaert I" provenant de l'abbaye Saint-Germain
des Pres et deposee aujourd'hui dans Feglise de Saint-Denis, slutue
qui date de 1'140 environ, nous en fournit un exemple remar-
quable (lig. 9).
Pour [touvoir ramener ainsi ces deux bords et les nouer, il fulluit
neeessairement que Petolle du manteau lut (l'une grande souplesse,