JARRETIIÄIRE
des personnages ayant les jambes vecues de bas-cle-chausses, que
nous appelons bas simplement aujourd'hui. Il est question de bas-
de-ehuusses pour les femmes des 1e xna sieele; ces bas-de-chausses
exigeaienL des jarr-etieres.
Pour danser, les dames portaient des fllülllS-LIO-CIIHIISSOS (calegons)
et des bas-de-chausses, par consequent des jarretieres. Ces calegons
portes dans les bals, sous les jupes, etaient commandes par une
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observation (Yhygiene tres-exacte. Pendant le XIVÜ sieste, tes dames
mettaient des jarretieres de soie brodees, qui, serrees sur les bas-
de-chausses, au-dessous du genou, etaient oroisees sous le jarret: et
venaient s'attacher au-dessus du genou (tig. '1 1). Les calegons des-
cendaient sur ces jarretieres plus on moins haut et ne serrationt pas
lnjambe. Ces jarretieres etaient attachees par une boucle ou simple-
mentnouees, ainsi que l'indique notre Ügure.
Il n'est pas besoin de rappeler ici la tradition relative {i l'institu-
' Miniature du xwe siizclc
ancienne collection H.