IIOUPPELANDI
lande) et un chaperon faits av la nouvelle mode. Le mari aurait fait
oter cette robe a sa moitie, disent les consideranls de Farrüt, u par
a ce qu'elle est (la robe) trop ouverte par devant, et que la langueLle
u du eolct va trop bas, et que le giet de penue' est un pclil. trop
grand. Et autant en ont ils fuict de son chaperon; pour ce qu"ilz
veulent (lire, que la patte est trop volante: et de faict l'on luy
musse. De laquelle chose elle ha. appelle en la court de ceans. Si
concluait tout pertinent en cas d'appel, qu'il avoit este mal
exploicte, et par elle bien appelle. Et au surplus requeroit provi-
sion, que pendant le proces elle peust vestir ladicte robbe et son
diet chaperon.