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lacees (fig. 3), laissant les genoux libres l. On portait aussi des
heuses fuites comme nos bottes molles Vers le milieu du xv" sicclc,
les soudards des compagnies franches, coureurs de grands chemins,
gens 51 tout faire, etaient habituellcmeilt chansses de longues heuscs
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qu'ils ne quittaient guere (tig. 43). (les Iieuses sont agrafees sur le
tibia et le la hauteur des genoux; la partie qui
couvre le bas de la cuisse est fermee. On y introduit la jambe
d'abord en tirant sur les courroies, qui tombent le long des revers,
puis on agrafe le bas. (les chaussures devaient etre excellentes pour
la marche.
Dans
llll
oü
temps
les chemins nkälaient gubre
bons,
oü cependant
1 hlanuscr. Biblioth. nation.,le Livre {le chasse de Gaston Phwbzcs (tin
(les trois exemples proviennent de ce manuscrit.
2 Voyez, ä l'article JOURNADE, la figure 2.
3 iilzuiuscr. Bihliotil. nation, Miroir historia], framjnis (1440 environ).
du XIVÜ si