GONELLE 
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variees suivant la saison ou suivant les circonstances. Il y en avait de 
tres-amples; d'autres ne depassaient pas les epaules et ne dilferaient 
du chaperon que parce qu'elles elaient completement ouvertes par 
devant, tandis qu'il fallait enfourmer le chaperon (voy. ÜIIAPEIlON). 
Les docteurs au Xllle siecle portaient la gonelle par-dessus la cotte 
longue. Cette gonelle etait fendue au droit des bras, du haut en 
bas, pour laisser la liberte aux mouvements. 
La ligure 2 montre un de ces docteurs enseignant la grammaire 
Si des ecoliers i. Cette gonelle, ample, est violette, doublee de blanc. 
Sur les epaules elle est froncee a tres-petits plis 1'eguliors,alin de 
rassembler Petofle et de la faire suivre le retrecissement du col. 
Les moines mendiants, prächeurs, portaient la gonelle, au 
X1110 siäzcle, ample eL descendant au-dessous des genoux (lig. 3 2). 
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Ce vetement religieux est toujours de couleur noire ou tres-sonibre. 
Dans l'exemple donne iei, la robe de dessous est grise. Le sczipu- 
laire, ou la cueule, est d'une nuance violet clair. 
La Iigure 3 bisi montre un religieux precheui- vetu de la robe et 
du scapulaire blancs; la gonelle est noire, avec capuchon. A lu fin 
du Xllle siecle, les religieux mendiants et preclieurs, qui, ät l'origine 
de leur institution, etaient vetus d'etoli'es grossieres, affcetaient au 
1 11111111131111.läihliolhmation, Image du  (sen-onde nluiliü du XIIIÜ siüclc). 
 Mauuscr. Bihliuth.  fonds SuiuL-Gcnnain(milieu du x111v sibclc). 
1; blauuscr. Bihliulh. L111Lio11., Ilishde [Il 11171 et des miracles 11e saint Louis (dcrniürcs 
mücs 1111 X111" sifrvlej.