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des ouvertures, entre les deux pans qui laissent passer les bras, sont
cousus trois collets se recouvrant, justes aux epaules, entierement
delaches les uns des autres lztteralement et par derrierc, mais s'ar-
retant des deux cotes de la poitrine, ou ils viennent se confondre
avec le nu de FeLotTe. Ces coilels sont, bien entendu, de memc
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nuance que le reste du vetement, et il faut encore que la jonction
des trois collets avec le pan du devant ne soit pas apparente. Sous
ce garde-corps, le personnage en question porte une surcotte a
manches larges sarretant aux coudes et armoyee de France. Les
manches justes de la cotte de dessous sont serrees aux avant-bras
par de petits boutons lres-rapproclles, suivant la mode d'alors. Il
faut observer que dans ce dernier votement, le pan de Llerriere est
sensiblement plus large que celui de devant, et que le passage du
bras entre ces deux pans se trouve ainsi ramone en avant, ce qui
rendait plus commode le port de l'habit. La tigure 8 montre la
manche de la surcotte et le corps de celle-ci serre a la taille par