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ESCLAVINE 
a Sou vis a miut de suiu de maisicrc. 
u Auclui s'en vont parmi une chan-icrc, 
N Hueses cuz jambes, de [ÜVGPSG uiauicrc 
u N'i a celui qui ait semelle anlicrc  w 
Ce vetemenl elait alors une sorte de manteau ressemblant a notre 
limousine, mais avec de larges manches et un capuchon (Iig.  Plus 
Lard il est taille d'une lagon moins grossiere (Hg. 2) et n'est plus 
fronce au collet; il recouvre les bras au moyen d'une sorte de 
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pelerine en facon de larges manches 1', ainsi que l'indique le 
patron (Hg. 3), pour laisser les bras libres et les bien couvrir jus- 
qu'au-dessous du coude. Notre figure montre en A Fesclavine par 
devant, et en B par derriere. De c en e, le corps du vetement est 
ouvert pour laisser passer les bras recouverts par les manches- 
pelerine cousues de e en f. Le vetement est fendu devant et der- 
riere, et sur les cotes de a en 11. 
Uesclavine conserve ä peu pres la meme forme jusqulä la lin 
f Guyzlon, chanson (le geste, vers 9769 et suiv. (flncienv Poäles (le la. Ifrance, 
Sous lu zlircct. de M. (lucssardl. 
2 hlanuscr. Biblioth. impzinu, le Miroir historia], frzxnqais (environ 1320). 
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