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considürd 
les solennitäs, lorsqu'il btait consic 
un caractäre sacrä. 
Ainsi, les rois de France portziienl 
ment ä un certain moment de leur 
cette solcnnitd fut räglü. 
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parfois la dalmatique, notam- 
sacre, lorsque le cärämoxlial de 
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Un manuscrit de la Biblioiheque imperialel, dedie a Philippe le 
Bel, nous montre ce prince sur un troue, revetu de la dalmatique 
fi manches courtes et fi capuchon. Elle est bleue, semee de fleurs de 
lis d'or (ilg. 4). Sous ce vetement. le roi porte une colle rouge. dont 
on napereoit que les manches justes. Dans sa. main droite, il tient 
des gants blancs. 
On peut donner le nom de dalmalique a un vetemeni tries-singu- 
lier qu'il etait d'habitude de porter. parmi la noblesse, a la lin du 
xiv" siecle. Cette epoque est peuL-etre celle qui, pendant le moyen 
fige, deploya, dans la coupe des veiements d'hommes et de femmes, 
la plus grande variete et le plus grand luxe. Apres les vetements 
serres au corps que les hommes portaient sous Charles V, on se prit 
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