HQLÜE
326
ques llgures Lfabbes, au trait, revelus de la cucule ecclesiaslique
(Hg. 1). C'est une dalrnalique sans manches, avec capuchon. Rien n'est
plus simple que ce vetemenl. Il se compose d'un morceau dääloffe
de laine de 90 centimetres de large environ (2 coudees), replie sur
lui-meme de a en b, descendant aux chevilles, perce d'une ouver-
C
Zf
TfgLl a
i
ture en c, garnie d'un capuchon (lig. 2). Porte, ce vetement pre-
sente la figure l, qui reproduit une des vignettes du manuscrit
precite. Celte cucule dilfere de la chasuble en ce qu'elle se termine
carreinent devant et derriere. Des attaches reunissent les deux pans
anterieur et posterieur, et en passant les bras par les intervalles
a, b, c, on pouvait retenir plus ou moins ces pans sur la saignee. La
cucule ordinaire des moines est representee dans la ligure l de
l'article ÜAGOULE. Les religieux benedictins et cisterciens qui por-
taient eeveteinent ne devaient s'en separer que la nuit, et le placer
sous leur tete pendant lete, sur leur corps en guise de couverture,
pendant l'hiver.
133
DALMATIQUE. s. f. Originairement, votement sans manches,
consistant en un lange lez (Fotoffo fendu par le milieu pour passoi-
la Lote, et tombant jusqu'aux pieds devant et dcrribre. Guillaume
Durand 1 dit que le pontifo revüt iunnütliatcment la dalmuliquo pair-
dcssus lu tunique; Lfilpräs l'institution du pape Sylvestre, et qu'on
lkaliozzule,