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(m, il propos de ce vetementl : a L'aube ou l'habit blanc devint si
ordinaire aux clercs, qu'ils le portaient toujours comme leurs veto-
ments; et les conciles ordonncrent qu'ils en auraient de particuliers
QUI ne serviraient qu'au temps du sacrifice... w a (Yätait Si fOFt
1115386 des evoques et des pretres de porter l'aube dans leur vete-
IHBHL ordinaire, qu'on leur recommande de ne la pas quitter, meme
e" VÜYÜSG, et quand ils vont a cheval. w
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NOUS donnons (Hg. l) l'aube de saint Tliomas Becket que conserve
le tresor- de la cathedrale de Sens. Cette aube est de lin blanc, sans
Capuchon, avec un parement düätolfe riche sur le devant en bas. Les
cütes de la tunique sont plisses ä petits plis et reunis par des gous-
sets en mailles de fil. Uextremite des manches est juste aux poignets,
ÜYÜG une entaille pour passer facilement la main. Dans les statues
ü eveques et de pretres des x11" et Xlllc siecles, l'aube apparait sous
121 Chasuble par-dessus Fetole (voy. ETOLE) et ne descend guere plus
Les anciennes lilurgies,
134.