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descendait pas jusqu'aux epaules. Un cadre il. miroir, d'ivoire, de
1360 environ, provenant de la collection de M. Maskell, de style
francais, nous monlreun jeune gentilhomme presentant son coeur
fi une demoiselle, qui semble en accepter l'hommage d'assez bonne
grztce. Le cavalier, qui sort de son palais, est vctu de la cotte hardie
(Iig. 42), exactement juste ou corps, boutonnee par devant. Il est
coifTe du capuchon juste dont nous venons de parler, festonne et
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retourne autour du visage. Au sommet, ce capuchon se termine
par une longue pointe tombant jusqu"au bas de la cotte. La dague
est attachee sur la cuisse droite, suivant la mode frangaise. La jeune
femme est vetue du corset a longues pentes aux manches, par-dessus
une cotte ample descendant sur les pieds. Cependant, sous le surcot
ample ou le corset, les hommes portaient encore, au commencement
du xve sieele. la cette courte de jupe, a manches larges aux aisselles,
avec petit collet et ceinture. La vignette dont nous presentons
(fig. '13) une copie l, montre un personnage noble quittant son
surcot. Dessous ce vetement, il est couvert de la cotte courte sur la
chemise et des chausses. Cette cotte est bleue et les chausses sont
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