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et paräes portaient des robes ü collels en pointe descendantjusqifä
la ceinture, qui Mail large et placee haut. Ces collets dägageaient le
cou et laissaient voir une partie de la gorge. 11s älaient doubläs de
fourrure, et par-dessous passait une coller-elle unie empesäe, de fine
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toile de baliste (lig. 9) f. Plus lard 2 les dames se decollelerent
beaucoup plus encore lorsqu'elles se paraienl, et les collels s'ou-
vrirent davantage en descendant jusque sur les bras. Ces collets
elaienL dits rebrasseis :
ÜWISSÜZ
D0 qllülcüllqllü condition,
Portant ullours cl buurrcluiz,
Mort saisit sans exrtupliou 3.
Ces collets rebrassez ä-Laienl bordäs de fourrures, amples, droits
par derriäre, ou parfois en pointe, si les dames qui les portaient
tenaient il älre träs-dfzcolletäes. (Voy. (IORSET, Rama, SUncoT.)
COLLIER, s
les colliers. En
m. On sait le gom
Egypte, en Asie, les
des peuples de lämtiquitä pour
hommes en pormiänl aussi bien
4 Manusrfr. Bihliulh. inxpäxu, Froissart.
2 1460 environ.
3 Grand Testament de Vilion, slrnph. xxxlx.
" Voyez Ordonn. sonzpi. du xve siäcle. Les rebrrzs
etd'u11e Glofib diifürenlcs de celles du lu robe, 011 d-f fl
dücurcuil, de martre, de loutre,
(flair:
HIITÜ
ut des borduraws d'une couleur
ves d'hermine, de menu vair,