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visibles, fermaient ces collets hauts par devant, et il fallait qifils sui-
vissent exactement la forme du cou et des epailles. Un etroit passe-
poil de fourrure les bordait par le haut, et laissait a peine voir le
bord frise d'une chemisette plissee embrassant totalement le cou. Une
chaine, on ganse d'or, etait posee a la base de ce collet et portait un
petit medaillon. Cette mode dura peu (1390 a 11405). A dater de cette
derniere epoque, la coupe des robes de femme, il la ville ou pilPäBS,
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laissait le cou nu. (les robes etaient ajustees ä la taille, les manches
etroites et longues; un large collet de fourrure setalait sur les
epaules, le dos et la poitrine. Dessous ce collet, lorsque les dames
sortaient parla ville ii pied ou montees sur une liaquenee, on posait
une sorte de collerette de velours noir avec collier d'or par-dessus
(fig. 8) 1. Cette parure ne convenait toutefois qu'aux dames nobles
et aux riches bourgeoises, qui des lors ne se faisaient pas faute
d'imiter les modes de la noblesse. Les jeunes femmes tres-elegantes
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