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suit valoir ce genre de coiffure, degageanl le cou el les epaules.
Celles qui n'avaient pas le bonheur de posseder des cheveux abon-
dants faisaient comme font les dames de nos jours, elles en ache-
taient; si bien que les fausses chevelures depassant facilement en
volume les veritables, toutes les femmes se crurent obligees d'ajouter
des cheveux faux {1 ceux que la nature leur avait donnes. Le cierge
selevait violemment conlre ces modes, mais les exiiortations ou les
menaces ne lireul pas supprimer une meche de cheveux tant que la
mode commanda de les Inontrer. En 13.40, les dames Lrouverent
M
Plus elegant de ramoner les deux nattes verticalement des deux
cotes des joues, en laissant entre elles et les tempes deux meches
droites de cheveux, coupees carrement e la hauteur du bas de ces
nattes. Quelquefois celles-ci furent alors remplacees par des torsades
lFes-regulierement tournees. C'est ainsi que sont coiffees Blanche
d'Evreux et Marie tFEspagne, femme du comte dktlengon (tig. 2'1)1.
Ce n'est pas dktujourdduii qu'on parle des caprices de la mode.
iMarie (Hispagnc, pcLiLc-iillc du sain"
dälumgon (Charles), en 1336, et ne 1ll0lll'l
cul: lieu üüqumnlncul; ätre placäe präS
1346 ; cm- l'habit que porte la princesse
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