COIFFURE
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le front et frisee; la partie posterienre etait divisee en deux longues
nattes qui, se croisant sur la nuque, venaient s'attacher sur les
cheveux frises au-dessus du front comme un diadeine; des oreilles,
on lfapergoit que le lobe. La ligure '19 1 explique mieux qu'aucune
description ce genre de coiffure. Mais on ne s'en tint pas lit. En
conservant le principe des deux nattes lyosterieures, les elegzintes
du commencement du xiv" siecle diviserent en outre le partie ante-
rieure des cheveux par une raie centrale, tirent boulier Lin-dessus
des tempes ces deux fractions. qui vinrent tomber droit le long
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des joues; puis les deux nattes croisees posterieures, descendant
au-dessous des oreilles, furent relevees verticalement le long des
meelies laterules pour se perdre et s'attacher sous les boullanls
menages des deux cotes du front. Dans les espaces lateraux que
laissaient voir les nattes, les restes des cheveux des deux fractions
anterieures tomberont en ondoyant dans un certain desordre. La
figure 9202 explique egulement cette parure de tete, fort {i la mode
vers 1330. Alors les femmes se decolletaient beaucoup, ce qui fui-
Miracles de [a
Vierge (1
de Suissons.
2 Voyez les mm
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