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chaperon anlour de. sa tele (lig. 8), en accumulant sur le sommet du
crime les plis de Fexlremite en maniere de creLe de coq.
Lu llgure 5 nous fait voir comme, ä la ün du XIVÜ sieclc, le cha-
peron s'ctail (loveloppe. Il zwait alors, deplie, au moins 2 melres de
longueur. Lu mode d'enrouler toute cette etotfe autour do la Lele
passa, mais lu longueur du chaperon ne HI: qu'augmenter. De 1400
a 1430, on laissait pendre une partie considerable de la queue du
chaperon sur le cote, par-dessus le bourrelet forme par un seul tour
do l'etol1'e. Alors, l'ouverture moyenne du chaperon, au lieu dk-Etre
percee pros de Fextreinito de la pointe, comme dans la llgure 'l, etait
laissee pres de Fextremite ample inferienre, de telle sorte que, si l'on
salfublait du chaperon, une longue bande dotolfe tombait derriere le
dos jusqu'aux talons. Mais, si l'on posait le chaperon en bonnet, sur
le sommet de la tete, en faisant penetrer le crane dans l'ouverture, ce
chaperon se presentait ainsi qu'il est indique en A (fig. 9P. Alors,
ou bien on enroulait cette longue pointe autour du cou, ainsi qu'il
est trace en B1, ou bien, en suivant la mode precedemment expli-
quee, on enroulait partie de cette pointe autour de la tete, et on
laissait tomber son extremite du cote oppose a la crete formee par
les plis de la partie inferieure (voy. en Un pou plus tard, le
chaperon fut fagonne d'une maniere Iixo, (fest-ät-dire qu'on ne
pouvait plus le disposer a sa guise, en faire une aumusse, une
echarpe, un bonnet; le chaperon, tout en conservant cette derniero
Manuscr
I bid.
les Glu-on.
de Froissart (xvf Siüe
olh
ä Mas.
du la hihli
la ville de Roucn
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rchandS.
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