CIIAPEA C
130
forme, et, Li certaines occasions solennelles, les princes prenaient
pour coiffure un chapeau il tres-lurges bords toinbanls, en fugon de
campanule (Hg. 17. Ces bords elaienl faits de brins de plumes re-
couverts, ii l'attache, de duvet. La calotte etail de velours, ainsi que
les bords sous la plume 1. Nous pourrions donner un plus grand
57
Qfg
[nfffyä f l?
a ,
hf-afy
f
X n Jill: l, A K
x j. .1; 15" 6L
fÄffÜÜWFÄÄ Mwwh"
ml "Wffi" W
Nyvkv "nm
k;
111,477, MÄX x
x-fix
nombre d'exemples de ces chapeaux, si varies de forme pendant
les XIVO et xve siecles; mais ce serait entrer dans de trop longs
(leveloppements. Sous Louis XlI, au contraire, le ehapeutl varie peu.
Il est habituellement fait de feutre, il. bords assez larges, reguliere-
78
"ÜZÄÜLTYÜV: x
.L
"äiivvflf"; 1 N VIL?
w
1.: f wfW f__ ä ,
A .fÄ,WMÄmfiilykääfiiizväff"EWÜ, k?
1.1" fassifWiLqgAA ÄfzflfffM
"IÄÄKJ 5-71 4 ff
N w fjff IN ff-ffx
W
ÜH X (Üäfxx
4', {f wxxkxw; Äggmh
f. MWIWÄ un ffffVfx, Qxfäf;
dl] Kif! jfWfAf 1-xivvlkxrlr;älwäk
ment et legerenlent relcves, avec calotte hemispherique. Une longue
plume tombe par derriere (fig. On le posait de me pour laisser
voir la chevelure, que les elegants portaient longue et lisse sur
le dessus de la lete, Lres-pexl frisee sur le cou. Celte mode persiste
jusque sous le regne de Frzmgois I".
Manuscr.
du Livre des tuurnuzs.