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CEIN'
TFRE
dames ilobles, en fait de toilette et de joyaux. Ce luxe, maigre les
edits somptuaires, compromettait toutes les fortunes, et les poetes
des XIVÜ et xvo siecles ne cessent, dans leurs vers, de critiquer ame-
rement ces tendances de la classe bourgeoise :
Maiuluuaut faulL avoir ahils.
Robes ct aullres ahillenncns.
Wierges d'or, perles et rubis.
Sainctures (lorees, dyamens,
Monuz vers latines gris hlaus
Pour les bourgeois, occnpäs de leur nägoce et de leurs affaires,
la ceinture ätail une vcäritable trousse ä laquelle pendaienl couteaux,
12
("i ;1x
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xx -
fkÄÄl-'f' fluxfjywä"
ustensiles de 1116Lier'
de cuir qui pouvaienL
escarcelle, ecritoire,
voyage des ceintures
ftig. 13V. On portait
contenir de Vargexll z
6D
Mes je vous ai (ri apporte.
Ne sai quuns deniers que jäaw
Ataut li baille la
cstoit plnil
ct fnrsi
Le goüt. des
hommes, pour
ceintures (Forfävrerie passa
les habits civils, Vers 14:25,
de
et
mode ,
reprit 51
chez
la [in
les
du
1 La Conzplzzinte douloureuse du nouveau min-id.
2 Roman des nzerveilles du monde, 13130. Bihlioth. impär
3 Conte de Constant Duhamel, vers 584 et suiv. (Fabl.
xvc siäcles, ädit. (YAÜISIZBFÜHIÜ, 1766).
XIV" et
1
, 110 8392.
et contes des xmf