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commengait ä fabriquer des chapes dläloffes eäpaisses couvertes d'or-
frois et de broderies lourdes; il fallait que ce välenlent ne pesait pas
trop surles äpaules. et la large bride permettait ü la chape de serrer le
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huut des bras (ce qui est lräs-gänant) en fatiguant moins les aäpaules.
Les chapes adoptäes aujourd'hui par FEglise sont de vfäritables gue-
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mes, tant elles sont roides, pesantes et couvertes de grosses bro-
deries; les patients contraints il porter ce velemenl, qui fait SOUVOIIiF
des Llarnnes du Dame, ne sauraient remuer les bras, et ressemblent
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