RELIQUAIRE
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Castille. En voici (fig. 13) un morceau, moitie diexecution. De pe-
tites plaques emailleos devaient autrefois etrc incrustecs dans les
deux ecus suspendus alu-dessus des personnages agenouilles. Ces
plaques ont disparu, de sorte qu'il est assez difficile de savoir il qui
ce rcliquaire porlalif zippartcnait. La prdsence des fleurs de lis et,
des tours de Caslillc gravees sur les plaques qui revetcnt Pextericur
du reliquaire ne designs pas necessairement le possesseur; car, ä.
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cette epoque, on mettait des fleurs de lis sur beaucoup d'objets qui
ne dcpcndztient pas pour cela du tresor royal. M. Arondel, le pos-
seur de ce precicux meuble, et plusieurs archeologues avec lui, ne
semblent pas douter qulil ait appartenu au roi saint Louis; mais, si
cela ätait, le chevalier agenouille serait couronne suivant l'usage,
et l'on verrait entre le losange extärieur, avec les fleurs de lis ct les
tours de Castille, les armes de lllargueritc de Provence, sa femme,
qui, l'ayant suivi en terre sainte, serait alors la personne agenouillee