Feld des Papieres in Vierecke, in welche dit! Mischfarbe aus den zwei zugehürigen
einfachen Farben eingetragen ist_ welcher er den lateixxischen, englischen unrl zu-
WGÜOII auch griec-hischenNnmen beifügt. Um einen Begrilf von seinen gemischten
Nuancen zu erhalten, sntze ich mehrere seiner mittlerexx Columnen her:
Übergang ans Weiss in Grau: albus, niveus, argenteus, paleus, lutentus, elec-
"tricus, hyttinus, sub fuscus, gilvus, helvus, carneus, roseus, caryophylleus, " , ' ,
griseus.
Übergang aus coracinus in niger: eoracinus, plumheus, nigellus, t , , t,
castaneus, pullus, aethiopicus, fuligineus, t, furvus, pressus, ater, niger.
Übergang von piceus in niger: picens, griseus, eanus, einereus, ferreus, H
niger (die bluuen Tüne des scllwarz).
Die " bezeiclmen Miscliungen, für welche Waller keinen Nnmen fond.
Diese Nomenclatur ist in sofern interessnlnt, als sie als eine illustration der
lateiuisehen Farbexibenennungen dienen kann; es wäre freilich noch zu untersuchen,
in wiefern XValler die Autoren der Alten verstanden.
44) ll Colorito. London 1'735. Wildc, Il, 150.
45) Observations physiques sur le melauge de quelques couleurs dans la teinture par
du Fay. Mem. de PAcad. rny. de Paris 1.737. Er hat iilxer die Kürpertlarben eine
Ansicht, die sieh von der Newton'scl1en entfernt und melxr der jetzt gellenden
nähert. ln Bezug auf lliiscli- und einfache Farben sagt er: Si l'on examine bien
la suite des couleurs du prisme, on verra que les sept couleurs qui sont vues dis-
tinctes l'une de l'autre dans le spectre colore, se peuvent reduire ä trois cou-
leurs primitives ces couleurs sont appellees matrices dans l'art de
la teinture parceque toutes les ailtres peuvent derivel- de leur melange et de leur
combinaison, et qu'elles ne peuvent elzre produites ou composees par le Inelauge
d'aucune autre; que de plus on a vu, il y a plusieurs annees en France des tableaux
faits par le S. le Blon qui les imprimait sur du papier au moyen de 3 planches
de cuivre gravees, chacune desquelles portait l'une de ces 3 couleurs: rouge, bleu,
ou jaune et du melnnge desquelles resultaient toutes les nuances et toutes les cou-
leurs dont la nature nous peut fournir 1' idee. Le S. le Bl on a fait depuis impri-
me!" En fHIIIQOiS et anglais un petit traite, intitule PHarmOnie du Coloris
dans la peinture rednite en pratique ou il donne une ides du systeme
des trois couleurs. L'application de ce principe au noir et au blanc demande
un travail particulier et plusieurs experienees, mais les physiciens n'auront pas de
peine d croire que cet examen doit conduire il la confirmation de Phypotliese que
je viens de proposer et qui consiste seulement in dire que toutes les couleurs de
la nature se peuvent reduire au 3, que nous avons ätnblies, que les parties inte-
grantes de ces 3 couleurs ou plutüt des corps dans lesquelles elles resident avec
le moins de melnngo sont ligurees de sorte qu'elles ne peuvent se toucher sans
laisser entr'elles des espaces propres s. recevoir les antres et qu' enfin s'il n'y n
' pus dans la nature un plus grand nombre de couleurs primitives, c'est qu'il n'y a
pas que ces trois configurations de parties qui sc puissent placer entre les pores
les unes des autres de la maniere necessaire pour rellecliir s. nos yeux les dilferens
rayons qui composent la lumiere. V. 267, 268.
45) Opera inedita cura Lichtenbcrg-ii. De aliinitate eolorum commentatio lectn in collegio
publico Güttingac 1758.
47) J. l-LLa m b e rt. Beschreibung einer mit dem Calau'sehen Wachse ausgemalten Farbeil-
pyramide. Berlin 1772. Der Berliner Hofmaler Calau lieferte als Substrat für die
Mischung ein sehr durehsichtiges und gleichfürmigesMittel, das er selbst Eleodori-
selles Wachs nennt, dessen nähere Besehreibung sieh aher weder in dem Lam b e rt-
schen Werke, noch sonst in einem gleichzeitig ersehienenen Werke beiindet.